A utiliser uniquement pour des préparations froides, supporte très mal la chaleur.

A conserver dans un endroit tempéré et sec.

Les noix sauvages sont récoltées en automne, dans une région située au nord-ouest de la Bulgarie, frontalière avec la Serbie et la Roumanie. Elles sont séchées rapidement, puis vient l’étape de la «casse», durant laquelle chaque coquille est brisée à l’aide d’un marteau. On procède alors au décorticage manuel, pour extraire les cerneaux.

Le pressage à l’ancienne est réalisé dans une huilerie artisanale (le Moulin de Sévery, en Suisse). Les cerneaux sont d’abord broyés jusqu’à l’obtention d’une pâte fine et compacte. Celle-ci est torréfiée (rôtie) quelques minutes à 110 degrés, ce qui permet de rendre le parfum plus intense et de fixer le pigment coloré doré sur l’huile de noix.

La pâte est ensuite pressée, et l’huile qui en résulte est séparée du reste de la pâte, qu’on appelle «nillon».

Enfin, l’huile pressée doit reposer quelque temps, afin que la sédimentation naturelle lui confère une pureté et une brillance parfaites.

Le produit fini peut dès lors être versé dans des récipients opaques, pour que les rayons lumineux ne viennent pas oxyder et rancir l’huile. Ainsi protégée, elle peut se conserver plusieurs années.

Volume net : 100ml

DLUO 11/2025